
Lucie Carrasco a révélé une chose choquante concernant le Tour de France de Lucie – "Je souffrais tout le temps"
Récemment, Lucie Carrasco a accordé une interview exclusive au magazine Télé-Loisirs. Elle s’est notamment confiée sur le Tour de France de Lucie. Une aventure humaine aussi belle que difficile pour elle.
Le mercredi 2 juillet 2025, France 5 diffuse un nouvel épisode du programme Le Tour de France de Lucie. Portée par la styliste et réalisatrice Lucie Carrasco, atteinte d’une maladie génétique rare, et son fidèle complice Jérémy Michalak, cette aventure humaine prend un tournant particulièrement intime cette année.
Après avoir exploré les routes de Californie, les paysages du Japon ou encore les forêts du Québec, Lucie Carrasco a choisi de poser ses valises dans l’Hexagone, son pays natal, pour une version française de son périple. À cette occasion, elle s’est confiée en exclusivité à Télé-Loisirs, livrant un témoignage bouleversant sur son aventure qui, bien que belle, met parfois ses nerfs à rudes épreuves à cause de sa condition.

Lucie Carrasco sur le tapis rose lors de la deuxième journée du 8e Festival international Canneseries au Palais des Festivals, le 25 avril 2025 à Cannes, en France. | Source : Getty Images
Son père : un soutien inébranlable
Dans cette aventure, il convient de noter que le père de Lucie Carrasco joue un rôle très important qui dépasse de loin celui d’un simple parent. Selon la styliste de 43 ans, sa participation n’a pas été difficile à obtenir : "Il était hyper content", explique-t-elle, avec tendresse. "Il adore nos programmes et il aime beaucoup Jérémy. Et Jérémy l'aime beaucoup aussi. Jérémy l'admire beaucoup en tant que papa."
Mais au-delà de la complicité entre parent et enfant, c’est surtout l’admiration et la reconnaissance infinie que Lucie Carrasco ressent envers son père qui frappent les esprits. "Mon père a tout fait pour que j'arrive là où je voulais arriver (…) Il m'a sauvé la vie, littéralement. Et du coup, je suis hyper fière ", déclare-t-elle, la voix chargée d’émotion.

Lucie Carrasco pose à l'hôtel Luxe de Beverly Hills, en Californie, le 24 juillet 2013. | Source : Getty Images
La quadragénaire a évoqué des souvenirs marqués par la douleur, la fatigue, et les épreuves que la maladie a imposées à leur famille. Pourtant, malgré tout, jamais son père n’a baissé les bras.
"J'ai vu mon père malade, fatigué. On était tous fatigués parce que je souffrais tout le temps. C'est hyper dur pour un père (…) Je n'ai jamais eu peur qu'il me laisse tomber, vraiment jamais. C'est ça qui m'a permis de tenir", confie-t-elle.

Lucie Carrasco assiste à la soirée d'ouverture du 65e Festival de Cannes au JW Marriott, le 16 mai 2012 à Cannes. | Source : Getty Images
Une aventure marquée par l’angoisse
Si Lucie Carrasco peut toujours compter sur le soutien de son père, il faut savoir, que dans cette aventure, son ami Jérémy Michalak joue également un rôle très important pour elle. Il l’aide souvent lorsque cette aventure met ses nerfs à rudes épreuves. Comme c’était le cas au gouffre de Padirac, une visite impressionnante… mais qui a viré à la panique pour la styliste.
“J'ai eu une vraie crise d'angoisse au gouffre de Padirac que Jérémy a réussi à calmer et pourtant, ce n'est pas le mec le plus zen de la Terre. De toute façon, aller au bout ou remonter, c'était le même temps. Il fallait juste que je me calme. Et comme je le dis dans le documentaire, à un moment donné, je suis hyper privilégiée. C'est un endroit incroyable, tu as cinq personnes qui sont là, avec toi”, a-t-elle confié.
Cette scène souligne l’intensité émotionnelle du programme. Même dans les lieux les plus merveilleux, la réalité du handicap, de la fatigue, de l’angoisse, s’invite parfois brutalement. Pourtant, Lucie Carrasco garde une lucidité touchante : consciente de sa chance, elle remercie ceux qui l’entourent et l’aident à avancer.
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